Le démantèlement en juillet dernier d’un vaste réseau de trafic de haschich entre le Maroc et l’Espagne a donné lieu à l’ouverture d’une enquête, et pas des moindres. Si bien que les offices intergouvernementaux Europol et Eurojust la chapotent. Plusieurs pays européens sont impliqués, le Maroc au coeur du trafic semble être dépassé.
Sur le dossier du Sahara, la diplomatie partisane a montré, une nouvelle fois, ses limites. L’USFP en un exemple. Faute de leaders charismatiques de la stature de Abderrahman Youssoufi, le parti de la Rose est sorti bredouille de la réunion de l’International socialiste au Portugal, totalement acquise au Polisario.
Février 2011, Genève abritait des pourparlers entre Maroc et le Polisario. Elle se concluait sur l’annonce de mesures à même de renforcer la confiance. Septembre de la même année, le Portugal accueillait, une rencontre sur «la culture hassanie». Du 3 au 6 juillet, les Açores est le lieu d’une réunion sur, cette fois-ci, «le rôle de la femme sahraouie dans la société.»
Que faut-il lire du départ de Portugal Telecom et de Telefonica du capital de Méditel? S’il est vrai que les deux actionnaires avaient manifesté leur intérêt de quitter le 2ème opérateur télécom du Maroc depuis plusieurs mois, il n’en reste pas moins que le contexte de leur départ laisse quelque peu interrogatif. Doit-on être interpellé (voir inquiet) par le départ d’opérateurs étrangers du Maroc et de son impact sur l’attractivité économique du pays à l'international ?
Jeudi 15 janvier 2009, le processus de la privatisation de la Société des télécommunications du Mali (Sotelma) est arrivé hier à terme selon le quotidien national d'information du Mali « L'Essor ». A l'issu du dépouillement des plis, Maroc Telecom pourrait être le nouveau partenaire stratégique avec 51% du capital de la Sotelma.