Le ministère de l’Intérieur gâte ses hauts cadres. Avec la bénédiction du chef du gouvernement, le département de Mohamed Hassad compte leur accorder des indemnités de logement assez conséquentes. Et cerise sur le gâteau, elles seront rétroactives.
Ksar El Kébir a connu un nouvel épisode du bras de fer engagé, depuis des mois, entre l’AMDH et le ministère de l’Intérieur. Les autorités de la ville en vue d’empêcher la tenue d’une activité de l’ONG, dans une salle de la Maison de la culture locale, ont dû couper le courant électrique. Les partisans de l’association ont répliqué par le recours à la lumière
Après la condamnation du ministère de l’Intérieur, l’AMDH gagne un autre procès contre le département de la Jeunesse et des Sports. Détails.
Le Collectif des associations des droits de l’homme marocaines menace de recourir à l’ONU pour défendre le droit de ses composantes à manifester sous différentes formes. La campagne du ministère de l’Intérieur contre l'AMDH risque donc de s’internationaliser.
Alors que le ministère de l’Intérieur avait accusé l’AMDH de «porter atteinte à l’intégrité territoriale du royaume» avec notamment un «calendrier obscur», l’association a réagi à ces accusations. Elle estime que la mise en demeure de la Wilaya de Rabat «n’est qu’un prétexte pour justifier des mesures arbitraires et absurdes qui vont à l’encontre des
Les tensions entre le département de Mohamed Hassad et l’AMDH montent d’un cran. Le ministère de l’intérieur accuse l’association de défense des droits de l’homme de «servir un agenda obscur» et de «porter atteinte à l'intégrité territoriale du royaume». Et du coup il menace de lui retirer le statut d’utilité publique qu'elle a depuis 2000.
Au fil des jours, des indicateurs émergent annonçant le retour annoncé à l’ère de la centralisation la plus dure. Après les présidents analphabètes, le ministère de l’Intérieur a mis sur la table des négociations la nomination d’un directeur du conseil communal. Vers une nouvelle forme de tutelle ?