Le 19 janvier 1984, des milliers de Marocains sont descendus dans les rues, en particulier dans les villes d'Al Hoceima, Tétouan, Ksar El Kébir et même à Marrakech en raison de la cherté de la vie et la situation économique du pays. Mais la répression sévère des forces de l’ordre engendrera de violentes émeutes, causant ainsi des dizaines de morts et des centaines de détenus.
Au XVe siècle, une femme riche de son courage, de son savoir, de son intelligence et de l’aura de sa famille andalouse écrivit l’histoire de Tétouan au féminin. Première gouvernante de la ville, Sayyida al-Horra fut une pirate coriace crainte par les armées européennes les plus tenaces.
Aujourd’hui résident à Dubaï, l’homme d’affaires marocain Youssef Bendriss est parti de zéro pour se frayer un chemin dans le monde du business. Grâce à sa persévérance et à sa bonne capacité de saisir les occasions qui se sont proposées à lui, il a en effet réussi à gravir les échelons dans le monde de la joaillerie.
Sur les pas de Roméo et Juliette, Ahmed Hantout et Erna Else Hildegard Seidel se battront pour leur amour jusqu’au bout, quittant ainsi l’Allemagne nazie pour venir s’installer à Tanger puis à Tétouan le siècle dernier. Yabiladi retrace une histoire d’amour pas comme les autres, née à Berlin dans les années 30, à une époque où les mariages mixtes étaient interdits entre Allemands et
Peu avant la fin du Protectorat, les rapports entre les partis de l’Istiqlal et de la Démocratie et de l’indépendance étaient minés de conflits, dans une course effrénée aux postes-clés du pouvoir. Contre ses rivaux politiques, le parti d’Allal El Fassi recourait même aux liquidations et à la torture.
Dépêché par le sultan alaouite Moulay Abderrahmane pour le représenter auprès du roi Louis-Philippe 1er de France, la mission diplomatique d’Abdelkader Ach’Ach constituera le début de la fin d’une puissante famille tétouanie.