Selon le bilan 2018 des épreuves de vérification des connaissances, seul document à s’intéresser aux nationalités des candidats, près de la moitié des inscrits (47,64%) venaient d’Algérie, 19,26% de la Tunisie et 4,89% du Maroc, soit plus de 71% des candidatures.
Maher Ben Aissa, vice-président de la Chambre nationale des sociétés de commerce international, rejette la décision des autorités marocaines de révision partielle de l’accord de libre-échange avec son pays, estimant que le déficit commercial en faveur de la Tunisie n’est pas important.
Bien qu’il ne soit pas considéré comme une «démocratie», le Maroc se distingue par son régime «hybride», dans une région où «l’autoritarisme s’enracine» et «l’érosion des principes démocratiques déjà minés se poursuit», selon un nouveau rapport de l’Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale.