Le 1er novembre 1988, le journaliste et photographe espagnol Ildefonso Sena documentait officiellement le premier décès d’un migrant en Méditerranée. Il n’avait pas encore 25 ans et était Marocain.
Une nouvelle étude internationale, publiée cette semaine dans la revue Nature Climate Change, pointe l’impact du changement climatique en particulier dans les pays au sud de la Méditerranée comme le Maroc.
Paru ce lundi, le rapport semestriel du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) indique que les migrants traversent moins la mer Méditerranée pour atteindre l’Europe, mais que le nombre de morts liées à ce périple est en croissance permanente.
Une récente étude démontre que dans plusieurs pays méditerranéens, les importations de bovins vifs sont en progression face aux importations de viande fraîche ou congelée. Le Maroc, pour compenser son déficit interne, opte pour le milieu de gamme.
La chasse commerciale à la baleine n’aurait pas commencé avec les baleiniers basques, vers 1 000 ap. J.-C., comme l’avancent jusque-là historiens et scientifiques. Une nouvelle recherche vient de révéler que les Romains s’adonaient à cette pêche, entraînant même la disparition précoce de certaines espèces de baleines.
De nombreux linguistes se sont penchés sur l’existence d’un lien entre la langue phénicienne et le tifinagh. Maria Josep Estanyol en a fait partie. Elle mène un combat, car pour elle «le phénicien et la langue mère de la méditerrané et c’est aussi notre premier alphabet».