L’Allemagne, l’Italie, la France, l’Espagne et le Maroc préparent un accord commun de 600 millions d'euros pour commencer à mettre en oeuvre le projet Désertec. Cet immense projet prévoit de produire de l'énergie propre dans le désert maghrébin et en particulier au Maroc pour l'exporter en Europe.
Le respect des engagements du Maroc en matière des droits de l’Homme sera examiné à la loupe par Juan Mendez, le rapporteur des Nations-Unies sur la torture. Le gouvernement Benkirane a adopté un projet de loi contre la torture et les disparitions forcées.
Mme Kerry Kennedy, la présidente du Centre Kennedy pour la justice et les droits de l’Homme vient d’ouvrir un nouveau front d’hostilité avec les autorités marocaines en attaquant l’action de la DST marocaine à Laâyoune. Elle l'accuse d'avoir frappé une militante sahraouie.
La très controversée visite de Kerry Kennedy au Sahara fait encore une fois l’actualité. Cette fois, c’est une supposée opération d’enlèvement de la présidente du Centre Robert Kennedy dans les camps de Tindouf par AQMI qui en est la cause.
Mustapha Selma revient sur le devant de l’actualité. Deux ans après son exil forcé en Mauritanie, l'ancien inspecteur général de police du Polisario, acquis tardivement à la cause marocaine, entend renouer avec les siens et annonce son retour aux camps des Tindouf.
Plus de quatre mois après que le Maroc a décidé de retirer sa «confiance» en Ross, une conversation téléphonique entre le roi Mohammed VI et Ban Ki-moon, secrétaire général de l'ONU, pourrait relancer le processus de négociation sur l'avenir du Sahara mais toujours avec un Christopher Ross aux commandes.
Deux actions simultanées viennent accueillir la délégation américaine du centre Robert Kennedy, à Laâyoune. Hier, les sites du parti populaire espagnol de trois localités ont été hackés par les défenseurs de la marocanité du Sahara. Au même moment, 12 activistes sahraouis emprisonnés ont entamé une grève de la faim pour dénoncer leurs conditions de détention.
Christopher Ross, envoyé des Nations Unies pour le Sahara, comptait mener, en mai dernier, une délégation internationale au Sahara pour s’enquérir sur place de la situation des droits de l’Homme. Une mission rejetée par le Maroc mais dont l’objectif est toujours d’actualité. Le Centre Robert Kennedy envoie, fin août, une mission composée de représentants d'associations des droits de l'homme. Cette visite
Le sort de la guerre au Sahara a été scellé à tout jamais lors de l’achèvement de la ceinture défensive en 1982. En effet dans la période 1976-1982 l’issue de la guerre n’était pas encore prévisible, malgré la supériorité numérique dont disposait les FAR.
L’option de l’autonomie comme solution au conflit au Sahara ne date pas de 2007. En 1996, le Maroc et le Polisario la discutaient déjà, en catimini, à Genève. A l’époque, le Front traversait une mauvaise passe. L’Algérie était enlisée dans sa guerre civile et le baril du pétrole ne dépassait pas les 20 dollars.