Un haut responsable du Centre national du commerce en Algérie vient d'annoncer les statistiques concernant les commerçants étrangers dans son pays. Les Marocains et Tunisiens, proches voisins de l'Algérie, ne figurent même pas parmi les cinq premiers.
71% des Français préfèrent le Maroc à l’Algérie et à la Tunisie. C’est ce que révèle un sondage réalisé par l’Ifop. Des résultats, que des lecteurs de Yabiladi n’arrivent pas à digérer. Certains accusent l’institut français de vouloir diviser les Marocains et les Algériens.
Jean Louis Borloo revient à la charge concernant les chibanis. Il demande au président français, François Hollande, actuellement en visite à Alger, d’annoncer depuis la capitale algérienne que les retraités maghrébins pourront bénéficier des prestations sociales quel que soit leur lieu de résidence. Pour les défenseurs des droits des chibanis, M. Hollande ne le fera pas.
Quel est le pays du Maghreb préféré par les Français ? C’est ce qu’a voulu savoir le site internet français Atlantico.fr qui a publié hier les résultats d’un sondage mené par le très sérieux Ifop. Les résultats sont sans appel : le Maroc est le petit chouchou des Français.
Ayrault au Maroc, aujourd'hui, et Hollande en Algérie, une semaine plus tard. Un enchaînement particulier qui interpelle sur les relations du président de la république, et des socialistes, avec chacun des deux pays du Maghreb.
La crise malienne connaît aujourd'hui de nouvelles secousses, mais le Maroc reste incapable, en dépit de sa position de président du Conseil de sécurité de l'ONU, d'adopter une position claire. Partisan d'une intervention militaire africaine au nord-Mali sans être membre de l'Union africaine, il reste en dehors des débats cruciaux pour le Mali.
Le Maroc se retrouve une nouvelle fois pointée du doigt pour sa gestion des dossiers en relation avec les immigrés. Dans son dernier rapport, remis jeudi à l’Union européenne, le Service jésuite des réfugiés dénonce, en effet, des «violations» des droits des migrants au Maroc, mais aussi en Algérie.
Pour ou contre une intervention armée au Nord-Mali ? Le Maroc avait répondu «contre» une première fois, en août, mais les Etats Unis et la France affutent leurs arguments. Dans le cadre de deux rencontres officielles, ils devraient tenter de convaincre le Maroc de soutenir officiellement cette intervention.