Les affaires de disparition d’enfants au Maroc sont parfois attribuées à des faits liés à la chasse au trésor. Ainsi, à l’image de la quête du Saint Graal, des chercheurs de trésors continueraient de recourir à des pratiques sataniques, allant même jusqu’à kidnapper ou sacrifier des enfants dits «zouhris» dans leurs quêtes.
A quelques jours de la rentrée scolaire dans les pays touchés par la pandémie du nouveau coronavirus, les recherches sur la viralité chez les enfants suscitent un intérêt particulier. Mais les conclusions se contredisent, mettant parents et décideurs politiques dans le flou.
Au Maroc, les coûts moyens de prise en charge d’un diabète de type 1 est de 1 500 DH par mois. Toutes les familles ne peuvent mobiliser en permanence une telle somme, qui devient un budget nécessaire à la vie de leur enfant atteint. Pour les soutenir, une association de professionnels de la santé leur fournit des traitements 100% gratuits.
Avec l’allègement du confinement sanitaire dans plusieurs provinces et communes marocaines, prendre en charge de nouveaux troubles chez les enfants devient une nécessité. Secrétaire générale de la Société marocaine de pédopsychiatrie, Dr. Bahia El Ouazzani insiste sur cette dimension, soulignant son importance dans les mois qui suivront le déconfinement.
Plusieurs semaines après l’alerte lancée par les associations de pédiatrie au Maroc quant au retard du calendrier vaccinal chez les nourrissons et les enfants, la mobilisation semble porter ses fruits. Dr. Moulay Said Afif, pédiatre et président de l’association InfoVac Maroc revient pour Yabiladi, sur l’impact du confinement sur la couverture vaccinale.
Les Marocaines bloquées à l'étranger suite à la fermeture des frontières souffrent particulièrement de ces deux mois passés loin de chez elles. Femmes enceintes, ayant accouché récemment ou femmes seules accompagnées d'enfants en bas âge, doivent prendre leur mal en patience. Jusqu'à quand...