Mais qu’est-il donc arrivé au célèbre bassin touristique Sahrij Swani de la ville de Meknès construit par Moulay Ismail aux XVII et XVIIIe siècles ? Connu pour sa tranquilité, le bassin s'est transformé, hier, en un véritable cimetière de poissons. Des milliers de carpes et d'autres espèces ont été retrouvées mortes à la surface de l’eau provoquant la colère des protecteurs de
Michel Tarrier, republie un texte extrait de ses «Carnets de voyages naturalistes au Maroc» qui remonte à une vingtaine d'année à propos de la disparition progressive sous les machoires des moutons du Djebel Ayachi. «Des derniers indices de vies végétales et animales rapportés, il ne reste maintenant plus rien. Pour être prophète, il suffit d'être pessimiste. Alors, je suis prophète en la matière et,
Parce que très prisée par les marocains, la moule est en proie à un braconnage intensif le long des côtes marocaines. Une surexploitation abusive qui menace l’écosystème des fonds marins mais qui, si elle était interdite, menacerait tout autant la stabilité de l'écosystème social : au Maroc, plusieurs milliers de pêcheurs, notamment entre Rabat et Casablanca, vivent en effet du produit de cette activité
Après l’annonce de son départ imminent de Rabat, Veolia vient de revenir sur sa décision d’assurer la gestion de l’assainissement de la ville durant la période transitoire précédant la nomination d’une nouvelle société délégataire. Bien que les autorités de la capitale, préparées, aient immédiatement pris le relais, il n’en demeure pas moins que cette
Le record historique de chaleur atteint par Marrakech hier vient de remettre sur le devant de la scène la question préoccupante de la sécheresse au Maroc. Sévissant depuis plusieurs mois, celle-ci inquiète à bien des égards. Entre baisse des recettes agricoles, chute du niveau de remplissage des barrages, et accélération de la propagation des feux de forêts, on comprend vite pourquoi.
Les climatologues du GIEC sont inquiets. Le monde connait de plus en plus d’épisodes météorologiques exceptionnels à cause du dérèglement climatique. L'un des épisodes auquel le monde doit s’habituer est la tombée plus fréquente de pluies. Le Maroc ne devrait pas être épargné par ce phénomène. Mohammed Saïd Karrouk, l’un des climatologues marocains du GIEC, demande au