C’est un cri du cœur que lance cette association dont les couples membres recueillent des orphelins marocains afin de les élever en France. Quelques difficultés notamment administratives ralentissent parfois les procédures engagées par les couples Franco-marocains au Royaume. Les dirigeants de la structure mise sur pied en avril 2011 ont la ferme intention de se faire entendre des autorités des deux pays pour l’intérêt collectif
Cachés, des milliers d'enfants au Maroc grandissent sans père et sont élevés par leur mère. Majoritairement issues de milieux défavorisés, ces femmes luttent contre la stigmatisation et la précarité.
Les baby blues touchent près de la moitié des jeunes mamans. Temporaire, il faut le distinguer de la dépression post-partum, plus grave, qui doit recevoir une prise en charge spécifique.
Selon la presse belge, le Maroc serait tout proche de devenir un partenaire de la Belgique pour les adoptions. Des précisions s’imposent toutefois, lorsqu’on sait que les deux pays ont des conceptions différentes sur la question. Les principaux bénéficiaires devraient être les familles marocaines en Belgique, désireuses d'adopter un enfant de leur pays d'origine.
Autrefois tabou, car elle traduisait immédiatement l’infertilité d’un couple considérée comme «hchouma», l’adoption a fait son chemin. Si, au sein de la société maghrébine en général et marocaine en particulier, elle se heurte encore à certaines conceptions traditionnelles, l’adoption est pleinement entrée dans les moeurs occidentales. Les Marocains résidant à
Depuis cinq ans, Malika Bouziane est présidente de l’Association des parents adoptifs d’enfants recueillis par kafala. L'association est composé uniquement de parents qui ont déjà recueilli en France, dans le cadre d'une kafala, au moins un enfant né au Maroc ou en Algérie. Sa présidente a répondu à Yabiladi.com.
Pour lʼannée 2009, le ministère de la Justice a enregistré 33 253 actes de mariage de mineurs conclus. Ce chiffre est en légère hausse et représente plus de 10 % de tous les mariages au Maroc. Pour Hayat Bouffarrachen, chef de Division des affaires Féminines au ministère de la Jeunesse et des Sports, présidente Fondatrice de l'Organisation Marocaine de l'Equité Familiale (OMEF) et chercheur en développement