Des institutions régionales et internationales ainsi que des Etats arabes sont unanimes à couvrir d’éloges les efforts du Maroc dans la conclusion d’un accord entre les parties libyennes sur les lois électorales. Une unanimité qui, comme d’habitude, a suscité des grincements de dents en Algérie.
Réunis au Maroc autour de la commission mixte pour les élections, les décideurs de Libye ont trouvé un commun accord pour les lois électorales qui devront permettre la tenue des scrutins législatif et présidentiel, d’ici la fin 2023. L’annonce a été faite conjointement par le président du Parlement libyen Aguila Saleh Issa, ainsi que le chef du Haut Conseil d’Etat en Libye, Khaled al-Michri, à
Après la Tunisie et la Mauritanie, l’Algérie est accusée d’ingérences dans les affaires intérieures d'un autre pays maghrébin. Alger a demandé aux autorités de Tripoli de dissoudre le Conseil supérieur des Amazighs de la Libye.
Un rapport d’un think-tank américain (proche des conservateurs) attribue la dynamique des relations entre les Etats-Unis et le Maroc à l’administration Trump. Un reproche indirect adressé à l’actuel locataire de la Maison blanche qui, dans l’ensemble et selon la même source, accorde peu d’intérêt à l’Afrique du nord.