«Le Comité rifain» ou le rêve de Mohamed Ben Abdelkrim El Khattabi de lancer, depuis Le Caire, une nouvelle révolution armée. Il voulait marquer ainsi son opposition aux accords de La Celle-Saint-Cloud.
La célébration de l'anniversaire du jour de la Nakbah en Palestine occupée a coïncidé en 2018 avec le massacre de 60 manifestants palestiniens, tués par l'armée israélienne à la frontière avec la bande de Gaza lors de protestations contre l'inauguration de l'ambassade américaine à Jérusalem. Histoire de la réaction du Maroc, le jour de la Nakbah et au lendemain de l’annonce de la
Trois ans après la conférence de Bandung de 1955, des partis maghrébins se réunirent à Tanger. Animés par les idéaux de l’unité et de l’intégration, ils appelèrent à une fédération régionale. Quelques décennies plus tard, force est de constater que ce rêve est totalement brisé.
Le 10 avril 1947, le sultan Mohammed Ben Youssef se rendait à Tanger, en compagnie du prince héritier Moulay Hassan et de la princesse Lalla Aicha. L’occasion de prononcer un discours historique qui marquera la rupture entre la monarchie alaouite et la Résidence générale. Histoire.
Un historien marocain révèle que El Khattabi avait refusé d’être roi du Maroc à la place de Mohammed V. Il s'agissait d'une offre française faite au rifain via Allal El Fassi.
Entre février et mars 1961, l'histoire du Maroc retient deux principaux faits marquants. D’abord, le décès prématuré du roi Mohammed V puis l’intronisation, le 3 mars 1961, du roi Hassan II.
Le 2 mars 1956 acte officiellement la fin du protectorat français au royaume. Pendant le règne de Mohammed V, en sa qualité de roi du Maroc libre et de sultan, la fête de l’indépendance était célébrée à cette date. C'est sous Hassan II qu’il y a eu le changement qui prévaut encore aujourd’hui malgré des tentatives d’honorer ce jour en 2011.
Le 26 février 1961, le roi Mohammed V est décédé après une intervention chirurgicale bénigne. Une mort qui garde encore quelques mystères et qui a soulevé plusieurs questions à travers les décennies.